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mercredi 24 mars 2010

Alphabet W-E: Chapitre 10: C comme contrôle.



"Celui qui contrôle le présent, contrôle le passé.
Celui qui contrôle le passé, contrôle l’avenir. "

Livre 1984 , Chapitre III, Georges Orwell,(1903-1950) "
Edward aimait tout contrôler : son travail, sa vie quotidienne, sa vie sexuelle. S’il y avait une façon pour lui de prendre les rênes, il le faisait. Il n’y avait jamais de ‘si’, de ‘et’, ou de ‘mais’. Il aimait tout contrôler. C’était dans sa nature depuis son plus jeune âge.



Quand Edward avait cinq ans, il fut nommé chef de son groupe de jeu par les autres enfants de son cercle d’amis. Ce n’est pas comme s’il se désignait lui-même comme leader mais c’était ses amis ou ses connaissances lors de ses années d’études qui l’élisait comme tel.



Quand il était à la maternelle, l’institutrice avait divisé la classe en trois groupes uniformes comprenant trois filles et trois garçons.



Edward avait eu le cœur brisé quand Bella n’avait pas été désignée pour faire partie de son groupe et il avait observé comme son groupe l’avait mis à l’écart. C’était sa meilleure amie. Il la regardait s’asseoir seule dans un coin, recroquevillée sur un tapis pour lire un livre. Il savait que son rôle était de tout faire pour qu’elle soit heureuse.



Il avait pris le contrôle de la situation.



Après que son groupe l’ait nommé chef, il avait dit à Bella de s’asseoir avec eux. Mais déjà à cinq ans, elle était têtue comme une mule. Elle avait protesté vigoureusement en disant qu’ils auraient des ennuis pour ne pas avoir respecté les règles et que son groupe serait en colère contre lui pour avoir attiré l’attention sur eux.



Il lui avait dit de ne pas s’en soucier.



Quand Bella s’était approchée du groupe d’Edward après la récréation, l’institutrice l’avait immédiatement interpelée. Elle avait traversé la classe vers la table où Bella s’était arrêtée et lui avait demandé pourquoi elle partageait une chaise avec Edward alors que son groupe était à l’opposé de la pièce. Mais avant qu’elle ne puise répondre, Edward l’avait devancée. A cinq ans, il était déjà un charmeur. (N/T je n’ai pas de mal à l’imaginer !)



« C’est parce que son groupe l’ignore, Mme Cope. Ce n’est pas la façon dont le groupe est censé fonctionner. Donc, nous l’avons invité à rejoindre notre groupe. Est-ce correct ? » Avait-il demandé, timidement et aussi doucement qu’il avait pu. La magie avait opéré. C’était un beau petit garçon, avec une magnifique tignasse bronze, des joues roses et des yeux verts envoûtants.



« Tu as raison, Edward. » Dit-elle, un brin de fierté dans la voix. Mme Cope avait assisté à l’ostracisme du groupe de Bella vis-à-vis d’elle. Elle avait vu comment l’autre groupe l’observait, surtout Edward. Elle avait gardé un œil sur Bella toute la semaine durant laquelle elle avait été à l’écart et avait vu les larmes couler sur son petit visage. Mais elle avait su que ce n’était qu’une question de temps avant qu’il ne l’invite à rejoindre son groupe.



Ce fut la première fois qu’Edward avait pris les choses en mains, et ce ne fut pas la dernière.



Ce jour-là lui avait donné un avant-goût de pouvoir. Depuis lors, Edward avait toujours essayé de tout contrôler. A l’école primaire, il était leader de sa classe. Au collège, il fut président de la huitième année. Au lycée, il était chef de tout : capitaine de l’équipe de base-ball, président du corps étudiant, président du National Honor Society, l’enfer. Il était même le président du club des sciences et de la technologie et c’est à peine s’il avait assisté aux réunions.



On peut même dire qu’il contrôlait l’amitié qu’il avait avec Bella, mais pas dans le mauvais sens. Il avait été le seul à savoir calmer Bella lors de leur première rencontre au supermarché. Il était celui qui avait persuadé les autres d’accueillir Bella dans leur groupe, celui qui avait obtenu que Bella vienne au onzième anniversaire d’Eric Yorkie. Et c’était lui qui avait eu l’idée de perdre leur virginité ensemble, et c’était toujours lui qui avait eu l’idée de commencer ce jeu fou de l’alphabet qui le torturait lentement.



Il s’habituait de plus en plus à ces fins de semaine de sexe. Il avait peur que quand tout serait terminé, il ne soit pas capable de vivre sans cette assurance de sexe, aussi barbare et déviant que soit-il. Il était un homme, nom de Dieu, et il aimait s’envoyer en l’air le plus souvent possible.



Sa première erreur à propos du jeu avait été de le lancer. Mais sa deuxième erreur, et la plus grande, avait été de voir marcher Bella nue toute la semaine.



C’était une pure torture, cruelle et inhabituelle.



Le corps de Bella était incroyable et l’avait toujours été. Même quand elle était passée par tous les stades ingrats de la puberté, elle avait eu un corps de rêve. Elle avait des jambes superbes et des seins qu’il avait vu grandir. L’été avant leur première année d’université, il avait suggéré qu’ils fréquentent la piscine. Ils y allaient presque tous les jours.



Il était un adolescent bourré d’hormones, la poursuivant afin de pouvoir observer ses seins le plus possible.



Mais maintenant, Bella était une femme étonnante, avec des courbes, des seins qui s’intégraient parfaitement à ses mains et un beau petit cul bien roulé dont il n’avait aucune idée jusqu’au moment où il était apparu. Il avait été surpris par celui-ci après leur première nuit. Il n’arrivait pas à croire qu’il ne l’avait jamais remarqué avant.

= X =

Lundi avait été terrible et pas simplement à cause de son travail. Bien que son travail l’ait vidé de tout enthousiasme à rentrer chez eux pour voir Bella nue, dès qu’il avait franchi les portes de l’appartement, sa mauvaise humeur s’était évanouie lorsqu’il avait vu Bella vêtue seulement d’un tablier pour cuisiner.



Une torture. Une putain de pure torture.



Il pouvait voir son petit cul avec le tablier juste attaché au-dessus comme s’il s’agissait d’un cadeau l’invitant à le dénouer.



« Je pense qu’un tablier est un vêtement, Bella. » La taquina-t-il en entrant dans la cuisine, chipant un morceau de poulet cuit.



« Ne touche pas à la nourriture, Edward. Tu ne t’es pas lavé les mains ! » Le gronda-t-elle en le frappant avec la cuillère en bois qu’elle avait en main.



« Désolé, maman ! » Gémit-il en volant un autre morceau de poulet quand Bella se tourna pour mélanger le riz.



« Comment s’est passée ta journée ? » Demanda-t-elle, apparemment à l’aise avec le fait d’être nue. Mais Edward soupçonnait qu’elle l’était à cause du tablier.



« Epouvantable. Et la tienne ? »



« Meilleure que la tienne, je suppose. » Dit-elle en prenant deux verres dans l’armoire. Edward regarda les muscles de ses jambes tendues. Il réprima le grognement qui montait lentement de sa gorge.



« Pourquoi as-tu ce tablier ? » Questionna-t-il, empêchant ses mains de le lui retirer.



« Je ne voulais pas me brûler un mamelon. » Dit-elle en haussant les épaules et en se retournant vers la cuisinière. Edward fit en mouvement de tête approuvant le raisonnement.



« Oh, tu l’as fait pour moi, n’est-ce pas ? »



« Pour toi ? Comment ça pour toi ? Je ne voulais pas me brûler si l’huile éclaboussait ! » Rétorqua-t-elle, saisissant une louche pour servir le riz et le poulet dans deux assiettes. Elle se dirigea vers la table et plaça les assiettes devant leur place. Edward prit les verres et les couverts.



« Non, tu sais que je n’aimerais pas tes seins brulés. C’est pourquoi tu as mis ce tablier. » Souffla-t-il en prenant une bouchée de nourriture.



« Je ne peux pas croire que tu as 25 ans, Edward. Vraiment ? Honnêtement ? C’est la chose la plus immature que tu aies jamais dite. »



Mardi et mercredi se passèrent à peu près comme lundi. Mais le jeudi tua presque Edward.



Il entra dans l’appartement après une longue journée de travail et trouva Bella faisant son yoga dans le salon.



Regarder Bella faire ses étirements de jambes quand elle était en sueur était une chose mais la regarder faire ses exercices quand elle était nue ressemblait presque à un porno en direct. A la manière dont elle était courbée vers l’avant, elle était exposée pour lui, grande ouverte, et il aurait aimé vérifier si elle n’était pas humide.



Ce soir-là, il dût renoncer à la taquiner car il n’aurait pas pu s’empêcher de la prendre là, au milieu du salon. Et cela aurait été contre les règles.



Les règles étaient claires. Le samedi serait le jour où ils auraient des relations sexuelles, pas le jeudi. Mais voir Bella nue au quotidien n’aidait pas à les respecter. Tous les jours de la semaine, il avait voulu l’avoir. Le matin, il avait imaginé la renverser sur le comptoir de la cuisine, ou sur le sol ou encore contre le frigo. La nuit, il voulait la prendre sur le canapé, la table de la salle à manger ou contre tous les murs de l’appartement.



C’était une torture et c’était de sa faute. Il était un idiot.



Il n’avait jamais été plus heureux de voir arriver le vendredi. Il était fatigué de devoir courir dans sa chambre comme un adolescent pré-pubère pour se soulager.



Enfin samedi. Samedi était comme un matin de Noël. Il pensait que son sexe allait tomber. Ses hormones n’avaient jamais été hors de contrôle comme ce jour-là. C’était si bizarre.



« Bonjour. » Grogna-t-il de sa voix rauque. Ce n’est pas ce qu’il voulait dire mais il devait se retenir. Ce qu’il avait en tête était : ‘je ne peux pas attendre pour être à l’intérieur de toi’, mais c’était un peu grossier à neuf heures du matin, même pour lui.



« Bonjour. » Répondit-elle, soufflant sur la tasse de café brûlant.



« Je devine que tu n’as pas beaucoup dormi la nuit dernière. » Dit-il en plaçant une assiette devant Bella.



« Non, en fait, j’ai beaucoup dormi. Je n’ai pas fait le rêve habituel cette nuit, bien que la même personne soit présente dans celui-ci. »



« Vraiment ? Veux-tu du café ? »



« Je sens que je pourrais en boire beaucoup aujourd’hui. » Murmura-t-elle en rougissant. Edward sourit. Il aimait quand elle rougissait. Il avait toujours aimé ça. Il y avait quelque chose de si doux et innocent dans son rougissement. Ce qui pouvait paraître bizarre pour un étranger surtout avec tout ce qui s’était passé ces dernières semaines.



« Décision intelligente. » Répondit-il. Il aurait voulu dire quelque chose de spirituel, pas trop pervers, mais il avait opté pour la maîtrise de ses émotions. Il devait rester sous contrôle pour ce soir, pour arriver à réaliser ce qu’il avait planifié depuis dimanche soir.



« Alors, que faisons-nous ? » Dit-elle, imperturbable devant l’importance de la question. « Tu ne m’as pas dit la lettre, hier, donc… »



« J’ai tiré la lettre C. » Répondit-il d’une voix ferme.



« C ? Et que veut dire le C ? »



« Contrôle complet Cullen. » Répondit-il, se reculant de la table en faisant sursauter Bella. Il était dix heures du matin mais il allait commencer maintenant car il ne pouvait plus attendre.



« Lève-toi, Bella. » Demanda-t-il en se mettant torse nu. Sa queue était déjà dressée dans son pantalon. Les yeux de Bella s’élargirent, se posant des questions sur ses actions.



« Oui, nous commençons maintenant. Tu n’as aucune idée d’à quel point ce fut dur pour moi cette semaine ! » Gronda-t-il en s’avançant vers elle, la coinçant contre le mur. « Te voir déambuler nue toute la semaine telle une statue grecque fut une véritable agonie. »



« Edward. » Sa voix tremblait quand elle prononça son nom. Il était juste face à elle et il sentait sa température augmenter. Il pouvait presque sentir son sang couler de manière erratique dans ses veines.



« Hum, Bella ! » Gémit-il, sa bouche s’attaquant à son cou et la mordillant. Il devrait rendre des comptes demain quand Bella lui crierait dessus pour les marques. A cet instant, il était content de sentir les doigts de Bella dans ses cheveux et d’entendre ses gémissements.



« Bella. » Murmura-t-il contre sa clavicule. Ses mains agrippèrent ses hanches violemment, la collant à lui. Il avait été si sacrément dur toute la semaine et finalement, il avait enfin ce dont il avait besoin.



« Hum ! » Etait tout ce que Bella était capable de dire entre ses gémissements et ses soupirs. Edward savourait ses sons. C’était comme de la musique, une partition magnifiquement orchestrée à ses oreilles, comme une sonate de Mozart.



« Diable. Putain, Bella ! Tu sais que je déteste de ne pas tout contrôler ! » Proclama-t-il contre sa poitrine, sa langue faisant des cercles autour de son téton avant de le prendre entièrement dans sa bouche. Tout deux gémirent de concert. Ses mains rugueuses se déplacèrent de haut en bas sur son torse tandis que ses baisers descendaient vers son bas ventre, juste au-dessus de son sexe. Il pouvait sentir son excitation et c’était enivrant.



Il se mit à genoux, son visage à seulement cinq centimètres d’elle. Il leva les yeux vers elle et elle le regarda.



« S’il te plaît ! » Supplia-t-elle, avant de se mordre la lèvre inférieure. Il gémit involontairement en la voyant faire. Putain, pensa-t-il, elle est déjà tellement humide.

Il souffla de l’air frais contre son humidité, entraînant le frissonnement de Bella.



« Mon Dieu, Bella, j’aime ta chatte ! » Gronda-t-il contre elle, la balayant d’un coup de langue. « J’aime ton odeur et ton goût ! » Gémit-il, la léchant encore une fois avant de se redresser.



« Mais tu sais quoi ? Aujourd’hui, c’est pour moi. Ce que j’aime encore plus que ton goût… » Chuchota-t-il à son oreille, mordillant son lobe. Il était vraiment un fétichiste des oreilles. « J’aime par-dessus tout la manière dont tu bouges quand je suis à l’intérieur de toi. »



Bella acquiesça, ses yeux observant les deux doigts d’Edward qui caressait son intimité avant de glisser aisément en elle. Il pompa ses doigts de la même façon que quand il l’avait prise sur la table. Il observait Bella dont les yeux roulaient et la bouche s’entrouvrait. Sa respiration était saccadée, ses mains cherchaient refuge où elles pouvaient. Elles étaient dans ses cheveux, sur ses biceps avant de s’installer sur ses cuisses.



Edward sentit que Bella était prête à venir alors il retira ses doigts.



« Baise-moi, maintenant ! » Grogna-t-il contre son oreille. « Tu ne viendras pas avant moi, aujourd’hui. Mets-toi à genoux, Bella ! » Commanda-t-il d’une voix forte, sa main poussant sur son épaule jusqu’à ce que ses genoux touchent le carrelage. Il ôta son pantalon et son boxer dans un mouvement rapide. Bella regarda la chute des vêtements attentivement. Edward surveillait comme Bella observait son sexe dur en face d’elle, les yeux agrandis et impatients.



Bella le prit fermement en main et la tête d’Edward retomba en arrière. Ses mains étaient si chaudes et si douces. Il gémit quand Bella envoya de l’air sur la tête de son sexe en secouant ses cheveux puis lécha la goutte de pré-sperme.



« Ta bouche, Bella. J’ai besoin de ta bouche ! » Ordonna-t-il, passant ses doigts dans ses cheveux, en essayant de rapprocher ses lèvres de sa queue.



« Putain ! » Grogna-t-il, comme sa bouche enveloppait son gland. Elle le suça, léchant la fente. Elle imposa un rythme lent et régulier de succion et de léchage. Edward gémit en signe d’appréciation de la douce sensation de sa bouche sur lui. Il se rendit compte rapidement qu’il perdait de sa volonté. Il attrapa la nuque de Bella et poussa dans sa gorge, aimant les petits sons sortant de sa bouche quand il poussait trop loin.



« Aujourd’hui, c’est pour moi ! » Lui rappela-t-il, alors que ses deux mains tenaient fermement la tête de Bella et qu’il trouvait un rythme qui lui plaisait. Il pouvait sentir la bouche de Bella se resserrer et l’aspirer.



« Putain, Bells ! Tu n’as pas idée depuis combien de temps j’attends pour avoir ta petite bouche sur moi. Tu ne m’as pas touché la dernière fois. (N/T Parce que t’a pas voulu !) Putain, oui, comme ça ! » Marmonna-t-il, resserrant son emprise sur sa chevelure et poussant ses hanches contre sa bouche. Bella gémissait autour de lui et les vibrations étaient incroyables. Une des mains de Bella glissa jusqu’à ses bourses qu’elle se mit à palper et masser comme elle continuait à sucer et aspirer sa queue.



« Bella, Bella, merde ! » Scanda-t-il, sentant ses bourses se serrer à l’approche de son orgasme. Bella le sentit également et Edward explosa dans sa gorge, comme elle raclait ses dents sur sa longueur.



« Merde ! Putain ! Fichtre, Bella ! » Cria-t-il, tandis que son orgasme l’envahissait, ses hanches se trémoussaient et qu’il se vidait dans la bouche de Bella. Elle sourit en se redressant. Elle approcha sa gorge près de l’oreille d’Edward et déglutit. Edward soupira fortement en l’entendant avaler son sperme. Il grogna et la jeta facilement sur son épaule.



« Edward ! » S’exclama-t-elle, encore essoufflée, comme il l’emportait vers le divan, la penchant sur l’accoudoir. Il la quitta un instant.



« Edward ! » Appela-t-elle à nouveau, comme l’air frais balayait son sexe humide.



« Bella, autant j’ai aimé cette fellation, autant je pense que tu dois payer pour avoir porté atteinte à ma position de dominant. C’est moi qui contrôle tout aujourd’hui. » L’informa-il, sa main sur son cul. Elle cria quand il fit claquer sa main sur ses fesses une fois, deux fois, trois fois puis frotta la peau qui avait pris une belle teinte rouge.



« J’aime te voir ainsi, ouverte pour moi, humide pour moi, désirant ma queue ! » Grommela-t-il à son oreille en se collant à son dos. Elle put le sentir à nouveau dur contre elle. Edward avait un temps de récupération court, il était encore jeune. Quand il était adolescent, il pouvait être prêt et impatient de recommencer après une minute. Une brise fraîche sur son sexe suffisait à le faire bander.



« Je ne peux pas attendre pour être à l’intérieur de toi, Bella. Tu émets les plus beaux sons. » Chuchota-t-il à son oreille en en mordillant le lobe. Bella gémit ainsi qu’Edward.



« J’aime la façon dont tu bouges quand je suis en toi, Bella. Vraiment. »



« Alors qu’attends-tu pour me baiser ? » Aboya Bella avec impatience pendant qu’Edward embrassait son épaule. Il ricana légèrement.



« Est-ce ce que tu veux ? Veux tu vraiment que je te prenne, ici, sur le canapé que ton père nous a acheté. C’est pervers, Isabella. Je ne suis pas sûr que le chef Swan approuverait nos ébats ! » La taquina-t-il alors que son sexe jouait avec l’entrée de sa féminité.



« Edward, s’il te plaît ! » Supplia-t-elle en tournant la tête pour le regarder.



« J’aime l’emprise que j’ai sur toi. » Grogna-t-il, s’enfonçant complètement en elle, appréciant sa chaleur. Il ne voulait pas que ce soit lent. Il contrôlait ce moment. Il voulait un acte brut, sale, profond ; quelque chose de pervers.



« Edward, le préservatif ! » cria Bella en se dégageant de lui. Mais Edward la rattrapa et la ramena à lui.



« Je suis clean, tu es clean. Nous n’avons pas eu de relations avec quelqu’un d’autre depuis longtemps et je sais que tu prends la pilule depuis l’âge de 16 ans. J’ai vérifié et tu l’as prend religieusement tous les matins avant de partir travailler. Je veux te sentir ! » Gémit-il en agrippant ses hanches et s’enfonçant à nouveau en elle sous ses gémissements.



Bella cria d’extase comme Edward imposait un rythme de coups durs, fermes, rapides puis lents. Elle pouvait tout sentir et elle adorait ça. Ses parois se serrèrent autour de lui provoquant de nouveaux gémissements à Edward. Elle était si douce, si chaude.



Il adorait la baiser et il devait lui faire savoir.



« J’aime baiser avec toi, Bella. Dis-moi que tu aimes aussi ! » Ordonna-t-il, saisissant ses cheveux et les tirant vers lui. Le dos de Bella s’est vouté au dessus du canapé, l’éloignant de lui comme il poussait avec force en elle.



« Je …j’aime, oh oui j’aime ça ! » Dit-elle dans un souffle.



« Dis-moi que tu aimes quand je te baise, Bella. » Demanda-t-il, tirant sur ses cheveux et claquant encore plus fort en elle.



« Oh, mon Dieu ! » Sursauta-t-elle. « Je …j’ai…aime…quand …toi, oh merde ! Quand tu me baises, ô Jésus, me baises ! »



Edward gloussa en relâchant ses cheveux mais Bella resta arquée, debout contre lui. La main d’Edward trouva son clitoris et le frotta en maintenant ses poussées.



Edward vint le premier comme il avait dit qu’il le ferait, surmontant son orgasme en claquant profondément en Bella. Il amena Bella à son apogée en pinçant son clitoris entre ses doigts. Elle hurla en se resserrant autour de lui.



Edward tomba sur elle et Bella s’affala sur le divan.



« Edward, pousse-toi ! » Gémit Bella sous son poids.



« Donne-moi une minute. » Murmura-t-il dans son épaule, puis il se retira de Bella en regardant les gouttes présentes sur l’intérieur de ses cuisses (de Bella). Elle était de loin la fille la plus sexy qu’il ait jamais vue. Mais elle pouvait aussi être la plus perverse.



Quand il se dégagea, Bella s’assit sur le divan, reprenant son souffle. Il alla s’installer à côté d’elle.



« Il est onze heures. » remarqua-t-il.



« Oui, et alors ? » Questionna Bella, sa respiration revenant doucement à la normale.



« Cela signifie qu’ils nous restent treize heures. » Expliqua-t-il, saisissant Bella et la plaçant sur ses genoux.



« Tu me charrie, là ? » Dit-elle, surprise.



« Non. »



A dix heures, il la prenait contre le divan, à onze heures c’était sur le divan. A midi, ils mangèrent puis sommeillèrent un peu. A trois heures, il la prit contre le réfrigérateur, à cinq heures, ils dînèrent. A six heures, ils dormirent un peu. Et à huit heures, ce fut la table de la cuisine qui fut choisie pour leurs ébats.



A onze heures, ils étaient à nouveau endormis sur le lit d’Edward, épuisés par leurs frasques. Mais Edward avait gardé le contrôle, veillant à ce que Bella dorme avec lui.

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