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jeudi 25 mars 2010

Alphabeth W-E: Chapitre 14: L comme libération.



« Soixante-dix millions de livres dans les bibliothèques américaines, mais celui que vous désirez est toujours absent. »

Tom Masson



Bella adorait lire. C’était certainement son loisir préféré. Elle n’appréciait rien de plus que d’être couchée sur son lit, un jour pluvieux ce qui était fréquent à Seattle, enveloppée dans un plaid et en train de lire un bon livre.



Même à l’adolescence, elle lisait les contes de fées que toutes les petites filles lisaient. Elle décorait les contes des Frères Grimm et regardait tous les Walt Disney. Son histoire préférée était Cendrillon. Elle trouvait incroyablement romantique ces filles qui ne vivaient que dans l’attente du prince charmant. Quelles filles ne voulaient pas de cette fin heureuse ? Bien sûr, en vieillissant elle votait aussi la méchanceté de sa belle-mère et de ses demi-sœurs et l’histoire perdu de son attrait.



Quand Bella fut à l’école primaire, elle lut le club des baby-sitters de l’auteur Ann M. Martin. Elle demanda à sa mère de l’inscrire au fan club dont elle avait vu l’adresse au dos des bouquins. Elle voulait elle aussi devenir baby-sitter mais sa mère lui rappelait qu’elle était trop jeune et que l’on ne pouvait pas garder des enfants quand on en était encore un soi-même.



Bella montra à sa mère les livres où des filles de son âge l’étaient mais Renée refusa toujours. Ça ne découragea pas Bella qui collectionna les livres ou les empruntaient à la bibliothèque publique de Forks.



Quand elle eut onze ans, elle découvrit le monde fantastique des vampires, merci Edward, et dévora les centaines de livres de la bibliothèque. Elle passait chaque jour des heures assise dans un coin à lire, bien que le bibliothécaire lui ait dit qu’elle était trop jeune pour certains ouvrages.



Puis vint un Noël où Edward lui offrit l’anthologie des romans de vampires. Elle n’avait jamais été aussi heureuse. Pendant des semaines, elle ne leva pas son nez du bouquin et quand elle sortait avec ses amis, elle mettait un signet pour ne pas perdre sa page. Chaque conversation lui rappelait ce qu’elle venait de lire et le reste du temps elle comptait les minutes qui la séparaient de son retour à la maison et du monde de ces suceurs de sang.



A l’école secondaire, elle essaya de lire le plus possible mais entre ses cours et son travail au magasin de sport Newton, le temps lui manquait souvent. Edward lui permettait de prendre une heure pour lire dans sa chambre du temps qu’elle aurait dû passer avec lui mais dès que ce délai était expiré, il lui arrachait son livre des mains et l’entraînait avec lui.



Bella bénit le Collège qui possédait la plus grande bibliothèque qu’elle n’ait jamais vue. Des dizaines de rangées de livres étaient à sa disposition. C’était son havre de paix personnel. De plus, elle avait eu la chance d’y décrocher un travail. Elle devait empiler des livres, les ranger, mais la plupart du temps elle était assise à lire lors des cercles de lecture ou pour elle-même. Bella était contente de pouvoir lire la semaine car le week-end, sa colocataire Rosalie et beaucoup de filles de sa classe sortaient dans les bars du coin. Elle n’y était pas très à l’aise mais elle devait avouer qu’elle s’était bien amusée surtout quand son groupe d’amis était avec elle.



Quand elle rendait visite à Edward à l’ UCLA (University of California, Los Angeles) , il lui laissait toujours son heure de lecture avant de l’entraîner au soleil et lui montrer des curiosités. Plusieurs fois, lors de rencontres avec des amis d’Edward, elle entendait la même chose.



« Vous êtes la Bella. Je commençais à penser qu’Edward avait rêvé de vous ou que vous étiez un personnage de ces livres qu’il reçoit par la poste »



Bella riait toujours et les informait qu’elle était bien réelle et que les livres qu’Edward recevait étaient de sa part. Chaque fois qu’un bouquin lui avait plu, elle avait acheté un exemplaire pour lui et avait noté une inscription sur la première page.



Edward possédait toujours ceux-ci dans une bibliothèque dans sa chambre.



Bella savait qu’Edward possédait une vaste collection, pas très bien cachée, de vidéos pornos. Il avait une dizaines de films ayant tous le même thème….une bibliothécaire sexy. Elle savait également grâce à une nuit d’ivresse après l’obtention de leur diplôme de secondaires, qu’Edward avait souvent fantasmé sur le fait de culbuter une jolie bibliothécaire appuyée sur son bureau.



Bella pêcha donc sa lettre pendant qu’Edward dormait comme un bébé. Elle avait tiré la lettre L et l’idée germa directement dans son esprit de s’habiller d’une jupe noire droite avec un chemisier aux boutons détachés mais elle essaya de repousser tout ça rapidement au fond de sa tête.



Malheureusement, elle n’arrêta pas de fantasmer toute la journée du lundi. Comme elle était assise à son bureau et lisait une histoire triste et ennuyeuse d’amour non partagée, elle ne pouvait s’empêcher de voir des images d’Edward et elle dans sa chambre entourés de livres. Elle pouvait presque sentir l’émotion qui la tiraillait alors qu’Edward rapporterait un livre en retard et fixerait son regard sur son chemisier déboutonné. Elle sentait presque son souffle chaud sur sa nuque tirant ses cheveux en arrière pour embrasser son cou.



Le mardi, elle fut débordée de travail et resta au bureau jusqu’à onze heures. Quand elle pénétra dans l’appartement, elle fit un léger signe à Edward et se glissa dans son lit, épuisée.



Le mercredi, Bella eut l’image du meilleur fantasme en lisant un manuscrit d’histoires courtes. Derrière elle se tenait Edward dans une tenue sportive. Il portait une chemise cintrée blanche avec une fine cravate noire, un pantalon étroit et une paire de lunettes mettant en valeur ses yeux émeraude sur son teint pâle. Il était à couper le souffle Délicieux même.



Comme son fantasme se jouait derrière ses yeux clos, ses mains se déplaçaient sur ses seins et si son téléphone portable n’avait pas sonné, il est certain qu’elles seraient arrivées beaucoup plus bas pour satisfaire le feu qui brûlait dans son bas ventre aux images d’Edward la prenant contre la bibliothèque.



Quand elle rentra chez elle le vendredi, elle était incroyablement excitée par ce week-end. C’était sa première fin de semaine depuis longtemps et l’anticipation du samedi, la rendait humide. La vue de la chemise blanche d’Edward était suffisant pour lui faire tremper sa culotte et son comportement ne passa pas inaperçu.



« Qu’elle est ton problème, Bella ? » Demanda Edward en la voyant sautiller sur sa chaise le vendredi soir au dîner.



« Rien, » Fut sa seule réponse mais elle était trop rapide.



« Vraiment ? Parce qu’il me semble que quelque chose trotte dans ton esprit. Qu’est-ce qui t’inquiète ? »



Bella sourit en essayant de contenir au mieux ce que son visage trahissait. Ses joues étaient presque aussi rouges que son soutien-gorge.



« Tu rougis ! » Nota Edward en gloussant. « Que veux-tu ? » Chuchota-t-il en la regardant. « Sois honnête, Bells ! »



Bella se mordit la lèvre et resta silencieuse. Son fantasme rampant dans son esprit tandis qu’Edward la fixait comme s’il voulait la prendre, juste là, sur la table. Tout cela était trop pour elle et elle sauta rapidement de sa chaise et courut s’enfermer dans sa chambre.



Elle avait ouvert sa fenêtre laissant entrer l’air frais, soulageant la chaleur de son corps. Elle entendit Edward ricaner dans le salon et choisit de rester dans sa chambre jusqu’à ce qu’Edward le quitte. Mais ça ne l’aida pas car il la rejoignit quand elle prit sa douche.



« Alors, à quoi pensais-tu ? » susurra-t-il à son oreille tandis qu’elle se lavait les cheveux. Elle cria car elle ne l’avait pas entendu venir.



« Putain, Edward ! Que fais-tu là ? Tu sais comme je déteste quand tu te faufiles partout comme ça. ! » Hurla-t-elle en lui tapant sur le bras.



« Tu évite ma question ! A quoi pensais-tu pendant le dîner ? » Demanda-t-il à nouveau, son regard sur elle. Elle regardait comme hypnotisée l’eau ruisselant le long de son visage dont quelques gouttes tombèrent sur ses lèvres charnues.



« Je te l’ai dit ! Rien ! » Dit-elle.



« Tu rougissais. Tu pensais à quelque chose de …sexy ? » Gémit-il, en avançant et la poussant en arrière vers la douche murale.



« Edward. » Sa voix vacillait. Il était si proche. Elle pouvait presque sentir la chaleur émaner de lui.



« Bella, » répondit-il d’une voix rauque. « Dis-moi la réponse et je te laisse seul. » (N/E : Non ! N/A : Non ! Décidément on est sur la même longueur d’onde Eli !) Sa main était maintenant dans ses cheveux, lui massant le cuir chevelu comme il l’avait fait dimanche et il devenait du chewing-gum entre ses mains.



« Je pensais, » commença-t-elle à dire, sa voix essoufflée. Edward appliquant toujours une douce pression sur ses cheveux.



« Que pensais-tu ? » murmura-t-il en mordillant le lobe de son oreille. (N/E : comment veut-il qu’elle parle sous ces tortures !)



« A toi, » répondit-elle enfin. Du coin de l’œil, elle vit le sourire béat sur le visage d’Edward.



« A moi faisant quoi ? Parce que je sais que c’est ce que tu fantasmes. »



« Toi et …moi…ce que j’ai prévu pour samedi. »



« Et qu’as-tu prévu pour samedi ? » tenta-t-il en l’embrassant dans le cou.



« Tu le découvriras …samedi, » gémit-elle, sous les assauts d’Edward dans son cou. Elle le repoussa du mieux qu’elle put et sortit de la douche. Elle se retourna pour voir une expression choquée sur son visage. Ses yeux voyagèrent sur son corps, passant par son torse et descendant jusqu’à son sexe, au garde à vous.



« Tu peux gérer cela, » plaisanta-t-elle avec lui comme elle sortait de la salle de bain. Elle referma la porte, prit une profonde respiration et se détendit en s’appuyant sur le chambranle.



Il lui avait presque été impossible de résister à Edward.



= X =



Le samedi matin se traînait et Bella ne s’était jamais sentie aussi mal. Elle pourrait parier que c’était aussi douloureux pour Edward car elle l’entendit soupirer quelques fois et vérifier l’heure.



A cinq heures, elle déposa un sac dans la chambre d’Edward. Il contenait une série d’instruction sur la manière d’arranger la chambre et sa tenue vestimentaires composée d’une paire de lunettes à la monture verte, d’une cravate noire bordée de fourrure. Elle laissa le sac avec agitation, ne pouvant cacher son enthousiasme.



Elle entra dans sa chambre, vêtue d’une mini jupe en jean, d’un top à l’encolure en V très plongeante et de talons aiguilles. Elle avait aussi un livre à la main.



Elle admira Edward quand il entra dans sa chambre. Il avait suivi ses instructions à la lettre. Il portait une chemise blanche dessinant harmonieusement sa poitrine, la cravate et un pantalon serré laissant voir à Bella son excitation. Il avait l’air heureux. Elle vit enfin ses lunettes. Il était comme elle l’avait imaginé. Elle le vit s’assoir à la table. Il était juste foutrement sexy.



Elle avait posé un ordinateur portable sur la table, le bruit de pas en arrière fond. Sous la table se trouvait la pagaie qu’elle avait déposée.



Si elle n’avait pas mouillé à la vue d’Edward, maintenant c’était le cas.



Elle marcha lentement autour de la pièce, passant ses doigts le long des étagères. Pour le taquiner, elle se pencha vers la planche la plus basse, gardant ses jambes bien tendues. Il put voir qu’elle ne portait rien sous sa mini jupe.



Bella l’entendit gémir et marmonner le mot « putain » comme elle se redressait. Elle saisit un livre, le Kama Sutra, et se tourna vers lui pour lui demander son avis.



« Est-ce un bon bouquin ? J’ai besoin d’un livre instructif. Quelque chose qui m’aide à perturber l’esprit du mec que je vois. »



Elle regardait Edward qui se redressa et avança vers elle. Si elle avait admiré son pantalon et les formes quand il était assis, ce n’était rien comparé à maintenant. Les muscles de ses cuisses étaient fermes, et quand il s’approcha, elle recula pour admirer son cul, son cul bien ferme ne demandant qu’à être empoigné.



« Celui-ci est bien, » gémit-il d’une voix ferme qu’elle n’avait jamais entendue avant. « Mais je vous conseille celui-là, » précisa-t-il en lui tendant un exemplaire du « Livre du sexe ».



« Vraiment ? Pourquoi ? » Dit-elle, les yeux brûlants. Elle fixait sa pomme d’Adam qui sautillait dans sa gorge. Elle pouvait dire qu’il était énervé. Elle le voyait tirer sur le col de sa chemise de temps en temps.



« Très instructif et moins compliqué que l’autre. Vous n’avez pas besoin d’être aussi flexible. »



« Mais je suis flexible, » murmura-t-elle en observant Edward qui marmonnait.



« Eh bien, vous pouvez prendre les deux livres mais avant vous devez enregistrer celui que vous tenez en main. Venez jusqu’à mon bureau que nous encodions tout cela, » suggéra-t-il en ricanant. Bella savait ce qui allait arriver. Elle hocha la tête et le suivit.



Edward redémarra la vidéo qu’il avait mise en veille après s’être installé sur le siège. Il prit le livre rapporté par Bella et fit le geste de le scanner. Un signal sonore retentit dans la pièce et soudain, le livre atterrit contre le mur de la chambre. Bella soupira et recula.



« Que se passe-t-il ? » Cria-t-elle en plaçant les mains sur ses hanches.



« La date de retour de ce livre est dépassée. Nous n’apprécions pas les retards. Et les personnes qui rendent les livres en retard doivent être punies, » ajouta-t-il, ses paroles suintaient le sexe.



« Punies ? » Demanda-t-elle.



« Oui, » confirma-t-il retirant lentement sa cravate. Il déchira sa chemise en l’ouvrant, ne se souciant pas de la somme rondelette qu’elle avait coûtée.



Bella joua l’effrayée comme il la coinçait contre les étagères de la bibliothèque.



« Comment ? » Demanda-t-elle timidement, essayant de calmer sa respiration. Elle voulait qu’Edward la baise. Elle le voulait en elle, maintenant. Elle le voulait depuis qu’elle avait tiré la lettre.



« Tourne-toi ! » Aboya-t-il. Bella jeta un dernier regard sur son torse nu et la bosse à l’avant de son pantalon puis se retourna. Elle s’agrippa à la bibliothèque. Edward attrapa la jupe en gémissant et jura à voix haute quand il constata qu’elle ne portait pas de sous-vêtements. Il lui ôta la jupe et elle entendit un bruit sourd quand elle atterrit sur le mur.



« Putain, » gémit-il en saisissant son cul et le massant doucement. Bella poussait des petits cris de plaisir. Il pressa ses fesses fortement avant de les relâcher. Soudainement, il frappa ses mains sur son cul. Un claquement puissant retentit dans la chambre puis il reprit ses fesses en mains.



« Oh !, » geignit-elle comme il posait un baiser sur sa fesse droit puis la gauche avant de se relever. Elle entendit le frottement de ses pieds sur le sol quand il retira ses chaussures et se dirigea vers la table. Quelques instants plus tard, il se trouvait à nouveau derrière elle. Il frotta la pagaie sur ses fesses. Bella poussa des gémissements d’anticipation et en réaction à la douceur de la fourrure recouvrant la pagaie.



« Ton livre était en retard, » susurra-t-il à son oreille, en continuant les frottements de pagaie.



« Oui, » répondit-elle dans un demi-cri. Elle était désespérée. Elle le voulait si fort que c’en était douloureux.



« Sais-tu quelle est le coût de l’amende ? » Questionna-t-il.



« Cinquante cents ? » Répondit-elle, humblement.



« Non, pas suffisant. » Edward tapota doucement la pagaie sur ses fesses. « Dix coups de pagaie. »



Bella inspira profondément en entendant le brassement d’air. Il la frappa sur les deux fesses. Elle cria en sentant la propagation de la chaleur sur son cul. Elle empoigna plus fortement l’étagère.



« Un, » cria Edward d’une voix la plus hautaine possible.



La pagaie s’abattit à nouveau et résonnait comme une musique aux oreilles de Bella. Cette fois-ci, elle compta elle-même. Putain, elle aimait ça.



« Ça te plaît, » chuchota-t-il d’une voix rauque, mordant le lobe de son oreille. Il frappa ensuite trois coups rapides successifs, chaque coup plus dur que le précédent.



« Ahhh ! » Cria-t-elle. Le dernier coup lui avait fait mal mais elle aimait toutes ces minutes de douleur qui se propageaient dans ses fesses. La sensation se déplaçait entre ses jambes.



« Tsk, Tsk, » la taquina-t-il. « Je pensais que tu allais jouir. »



Une fois encore, il abaissa la pagaie sur son cul mais seulement deux fois, une fois à droite, une fois à gauche répartissant les rougeurs.



« Encore combien ? » Demanda-t-il, mordillant le dessus de son épaule et suçant sa peau. Elle appuya sa tête contre lui.



« Trois ! » Hurla-t-elle quand deux coups arrivèrent.



« Et maintenant ? »Grogna-t-il.



« Une ! » Miaula-t-elle sous le dernier coup. Elle entendit la pagaie tomber au sol tandis qu’Edward la retournait rapidement. Il la poussa violemment sur l’étagère en grognant et jurant dans son cou. Il saisit la chemise de Bella et lui arracha. Edward enfuit son visage dans sa poitrine, remontant ses mains le long de ses côtes avant de prendre l’un de ses mamelons en bouche. Il les suça l’un après l’autre les faisant durcir.



« Putain, je te veux, » gronda-t-il en se redressant et recommençant à mordre sa clavicule.



« Prends-moi, » gémit Bella alors que la main de son amant descendait vers son clitoris qu’il frotta frénétiquement. « Merde, Edward. J’ai besoin de toi en moi, maintenant ! Putain ! » Hurla-t-elle alors que ses doigts jouaient avec sa féminité avant de se glisser en elle.



« Merde. Tu es trempée pour moi. Merde, Bella…si mouillée. Je ne peux pas attendre pour être en toi, » gémit-il, la pompant avec ses doigts.



« Qu’est-ce que tu attends alors ? » Dit-elle. Ses mains trouvèrent le bouton du pantalon d’Edward et tirèrent désespérément dessus.



Edward sentant son désarroi, déboutonna lui-même son pantalon, le retira en même temps que son boxer et l’expédia rejoindre la jupe.



La main de Bella était sur son sexe avant qu’il n’ait eu le temps de descendre ses vêtements.



« Putain, Bella. Donne-moi une minu…Oh merde…c’est si bon, » gémit-il, se tortillant pour retirer ses habits de ses chevilles sans lâcher Bella.



Une fois complètement nu, il lui saisit la taille et s’écrasa sur elle frottant son érection contre elle.



« En moi. »



« Hum, » murmura-telle quand il la souleva et lui fit entourer sa taille de ses jambes. Ses talons appuyaient sur la partie basse du dos d’Edward lui permettant de s’enfoncer profondément en elle. Ils gémirent tous deux de bonheur à cette sensation.



Il prit un rythme soutenu. Il ne ralentit jamais même pas quand il lâcha Bella qui s’agrippait à ses épaules pour se tenir à l’étagère derrière elle. Son torse claquait contre elle, il écartait son bassin (s’écartant) pour mieux s’enfoncer ensuite en elle, brutalement.



« Je…ne peux plus…, » gémit Bella, bougeant les bras frénétiquement emportant des livres avec elle.



« Putain, Bella. Viens pour moi. J’ai besoin que tu jouisses pour moi, » ordonna-t-il, augmentant encore le rythme et la puissance de ses pénétrations. Bella voyait des étoiles derrières ses yeux.



« Plus fort, Edward, » supplia-t-elle. Il la porta et la jeta contre le mur poussant encore plus profondément en elle.



« Viens pour moi, Bella, » demanda-t-il encore une fois, la martelant de plus belle.



« Je suis si près, » dit-elle, ses mains enfouies dans la chevelure de son amant. Edward gémissait de plus en plus. Edward s’écarta légèrement, glissant sa main sur son clitoris afin de la cajoler rapidement. Bella sentait qu’il ne tiendrait plus longtemps mais elle non plus.



« Edward, je suis…je vais…oh merde ! » cria-t-elle quand son orgasme explosa en elle, prenant vie de ses orteils et se propageant jusqu’à la racine de ses cheveux.



« BELLA ! » Hurla Edward quand il se déversa en elle dans un plaisir violent.



Edward se laissa tomber sur le sol entraînant Bella avec lui.



« Aie, » dit-elle quand elle toucha le plancher.



« Quoi ? » Demanda-il, inquiet.



« Tu m’as laissé tomber sur un livre, » expliqua-telle en se frottant la fesse.



« C’est toi qui les a renversés, donc techniquement c’est de ta faute, » soutint-il narquois. Bella se contenta de rire et de frapper la poitrine d’Edward avec le bouquin.

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