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mardi 23 mars 2010

Alphabet W-E: Chapitre 6: R comme réciprocité ou remerciement



Si nous sommes bons pour les personnes alors nous sommes payés en retour de la même manière mais si nous sommes mauvais pour eux, nous seront payés évidemment de la même manière en retour.


Atharva Veda

Bella n’avait pas grandi dans le luxe. Ses parents vivaient avec le strict minimum. Son père, Charlie Swan, était chef de la police de la petite ville de Forks où Edward et elle avaient grandi. Bien qu’il fût chef de la police, cela ne voulait pas dire qu’il gagnait beaucoup d’argent. Sa mère était femme au foyer. Même après leur divorce, elle resta femme au foyer en déménageant en Arizona où elle se remaria avec un joueur de baseball et voyagea avec lui à travers le pays.

Edward, pour sa part, était d’un milieu aisé. On pouvait dire qu’il était né avec une cuillère en argent dans la bouche. Son père, Carlisle Cullen, était un chirurgien réputé et quand ils emménagèrent à Forks, Edward avait 3 ans. Il prit un travail à l’hôpital local qui vit une augmentation importante du nombre de femmes aux urgences sans blessure apparente mais qui voulaient parler au docteur. Esmé Cullen, était décoratrice d’intérieur et on parlait d’elle comme d’une référence dans le domaine. Elle avait énormément de talent.

Néanmoins, malgré leur éducation différente, Edward et le reste des Cullen n’avaient jamais traité Bella différemment. Elle faisait partie de la famille.

Edward avait de la chance de toujours obtenir les choses les plus récentes, qu’il s’agisse de jeux vidéo, musique, vêtements. Tout le monde savait que si c’était cher et que tout le monde le voulait, Edward l’aurait en premier. Bella, en revanche, avait tendance à remettre tout pour plus tard et parfois, se contentait de sous-marques. Edward n’avait jamais rien dit. Plusieurs fois, il avait acheté des choses pour Bella en empruntant de l’argent à sa mère.

Lorsque sa mère lui demandait pourquoi, il avait toujours une raison. Il y avait toujours une bonne raison que ce soit pour son anniversaire, pour Noël ou pour être le meilleur ami du monde. Edward voulait toujours lui offrir quelque chose même s’il savait qu’elle ne pouvait pas lui rendre en retour. Mais il ne s’en souciait pas. C’est ce qu’il disait à Bella quand ils étaient jeunes.

« Je n’ai pas besoin que tu me donnes quelque chose, Bella. J’ai juste envie de rendre ma meilleure amie heureuse. »

Bella s’est toujours sentie mal face à cette différence, surtout en vieillissant. Pour l’obtention de son diplôme, Edward lui offrit un collier, un collier en platine véritable avec son nom incrusté en petits diamants. Alors qu’elle n’avait pu lui offrir qu’un album relié en cuir avec des tonnes de photos retraçant leur amitié, des bonbons aux fraises et le talon du billet de cinéma d’Entretien avec un vampire avec à l’intérieur l’inscription :

A l’ami le plus cool du monde, Edward.

Je veux que tu me fasses une faveur. Ne cesse jamais d’être mon meilleur ami. Tu es le garçon le plus

cool que je connaisse.

Ne m’oublie pas si tu deviens un grand homme sur le campus.

Un océan d’amour et des millions de baisers.

Ta meilleure amie.

Isabella Marie Swan
 Edward avait un visage radieux et même si elle se sentait encore mal face à l’argent dépensé pour son cadeau ; elle avait été heureuse quand Edward lui avait dit que c’était le plus beau cadeau qu’il avait reçu et qu’il ne l’oublierait jamais.

Mais aujourd’hui avec leur jeu de l’alphabet du sexe, il avait réussi à toujours tout lui donner. A chaque fois, il se contentait de concentrer toute son attention sur elle, en disant que c’était tout pour elle et ne s’inquiétait pas de lui.

Bella l’avait remarqué.

Dimanche soir, après qu’Edward et elle soient rentrés des courses, elle avait passé son temps à consulter le dictionnaire à la lettre R , essayant de formuler des idées pour leurs activités de samedi prochain. Elle savait déjà qu’elle allait ajouter quelques activités différentes avec la lettre puisque Edward l’avait fait lors de son Week-end. Ce qu’Edward pouvait faire, elle pouvait le faire aussi en mieux. Il était juste question de trouver une idée.

En lisant le dictionnaire, un mot se détachait des autres : en RETOUR.

RECIPROQUE : Verbe indiquant que l’action est réalisée simultanément par deux sujets, chacun étant à la fois acteur et objet de l’action ; donner et recevoir mutuellement, alterner.
Elle le prenait dans le sens de remercier Edward pour les deux derniers WE, de lui rendre la pareil de façon à ce qu’il ne l’oublie jamais. Elle le devait. Il avait honnêtement été le meilleur partenaire qu’elle ait jamais eu, elle ne pouvait le nier. Elle n’avait jamais rien ressenti de tel, jamais connu d’orgasme si intense lorsqu’il avait débuté au bout de ses orteils.

Comment s’y prendre pour être alternatif était la question à un million de dollars.
= X =

La journée de lundi se passait bien jusqu’à l’arrivée dans son bureau d’Emmett.

Emmett, le frère aîné de deux ans d’Edward, travaillait dans le même bâtiment que Bella. L’immeuble abritait de nombreuses sociétés différentes dont un très célèbre bureau d’expert financier.

Emmett travaillait un étage au dessus d’elle. Il était psychologue et s’occupait d’athlètes célèbres. Plusieurs fois, Bella s’était trouvée dans l’ascenseur avec quelques célèbres joueurs de baseball.

Ils avaient l’habitude de discuter ensemble, se connaissant depuis de nombreuses années. Emmett avait de nombreuses coupures dans ses horaires de travail. La seule personne présente dans son bureau était une femme du nom de Jane, sa chienne de secrétaire et c’est pour cette raison qu’il descendait pour discuter avec Bella.

La conversation avait débuté de la même façon que lorsqu’ils étaient enfants.

« Belly ! Comment vas-tu aujourd’hui ? » Elle roula des yeux, comme à son habitude chaque fois qu’Emmett utilisait ce surnom ridicule.

« Je vais bien, Em. S’il te plaît, ne m’appelle pas ainsi. »

« Mais tu l’aimes, Belly. Ne mens pas. Tu aimes mes visites, aussi. » Répondit-il avec le même air suffisant qu’Edward en prenant place sur le fauteuil face au bureau de Bella.

« Qu’est-ce qui t’amène aujourd’hui, Emmett ? Aucun joueur de basket-ball n’a peur de son épouse ? »

Emmett riait fort et son rire emplit tout la pièce.

« Tu es bien une femme, Isabella Swan ! »

« Ouf ! » Gémit Bella, en claquant ses mains sur le bureau. « Qu’avez-vous ton frère et toi à m’appeler Isabella ? Ai-je donné l’impression que je préférais ce nom ? »

« Nous aimons simplement te voir te fâcher. C’est fun ! » Répondit-il avec joie, en levant un sourcil. « Encore un col roulé, Mademoiselle Swan, » demanda-t-il, en se levant de sa chaise. Il s’approcha d’elle.

« Recule, Emmett Cullen. Je vais te botter le cul si fort que Rosalie ne sera plus en mesure d’avoir un mini-Emmett. »

« As-tu quelque chose à cacher ? » Questionna-t-il, approchant son visage d’elle, ignorant totalement sa menace. Il était nettement plus grand qu’elle et il n’y avait aucune chance qu’elle lui échappe.

« Un suçon, peut-être ? » Plaisanta-t-il, écartant le col de son pull.

« Suçons ! » Cria-t-il, en voyant les multiples marques violacées jonchant son cou.

« Bella Swan, qui t’a marquée ainsi ? »

« C’est pas tes affaires ! »

« Est-ce qu’Edward sait pour ce mec ? » Demanda-t-il en se rasseyant sur son siège.

« Oui, il sait… très bien. » Répondit-elle en essayant pudiquement de ne pas donner la véritable explication, à savoir que son frère était le responsable de ces marques. Et Dieu, comme elle avait aimé.

« Vraiment ? Edward n’a pas dit que tu avais une relation. »

« Vous parlez avec Edward de mes rendez-vous ? »

« Eh bien, non, mais chaque fois je parle de toi, il me dit ce qu’il se passe avec toi. En plus, je suis marié avec ton ancienne colocataire de collège, alors bien sûr, je sais des choses comme par exemple le nombre de fois où tu as couché avec Jacob Black ! »

« Sors d’ici, Emmett ! » Commanda-t-elle en pointant la porte. Emmett se moqua d’elle en murmurant quelque chose à propos de la vie sexuelle de Bella.

Lorsque Bella raconta l’histoire à Edward le soir au dîner, celui-ci rit hystériquement, s’étouffant presque avec un morceau de poulet. Il secoua la tête en murmurant pour lui-même : « classique ».

Le reste de la semaine ne fut pas aussi mouvementé que le lundi. Dès jeudi, Bella élabora un plan de ce qu’elle ferait et s’impatientait. Elle était excitée parce que rien ne lui ferait plus plaisir que de voir Edward heureux. Et il serait heureux, oh tellement heureux.

Le vendredi, ce fut la même rengaine que les deux semaines précédentes. Edward préparait le dîner et mendiait pour connaître la lettre. Il essayait d’avoir des indices durant la conversation.

« Est-ce que la lettre apparaît dans le mot, Floccinaucinihilipilification ? »

« Est-ce un vrai mot ? » Demanda-t-elle, perplexe.

« Ouais, c’est la signification de quelque chose d’inutile. C’est Carlisle qui me l’a expliqué en sixième. »

« Je ne sais même pas l’épeler, donc je ne sais pas si la lettre est dedans. »

Elle mit fin à ses souffrances au dessert, principalement parce qu’il gardait la main sur le morceau de gâteau aux fraises.

« Si je te dis la lettre, me donneras-tu un morceau de gâteau ? »

« Bien sûr, Bella. C’est ainsi que la négociation fonctionne ! » Plaisanta-t-il, passant l’assiette avec le gâteau devant son visage.

« Pourquoi faut-il toujours que tu t’en prennes à mon alimentation ? » Bella boudait tandis Edward se moquait d’elle.

« Parce que ça fonctionne toujours ! » Ajouta-t-il en donnant un coup de langue sur la fraise au-dessus de la pâtisserie.

« Hey, mon gâteau ! Tu profanes mon dessert ! » Cria-t-elle en sautant de sa chaise et marchant vers Edward.

« La lettre ! Dis-moi la lettre et je serai très heureux de te nourrir de ce gâteau. »

« Je suis capable de me nourrir seule. Merci beaucoup. Maintenant, donne-moi ce gâteau ! » Cria-t-elle en le chassant autour de la table.

« Hum, il semble très bon ce gâteau ! » Répondit Edward, en esquivant Bella.

« Edward Cullen, donne-moi ce gâteau et je te dirai la lettre ! » Dit-elle s’asseyant dans un fauteuil.

« NON ! Ce n’est pas ainsi que cela fonctionne, Mademoiselle Swan. Si je te donne ce gâteau, tu vas l’engloutir et tu ne me diras pas la lettre choisie. Il n’y aura qu’un heureux. Tandis que si tu me dis la lettre et puis que je te donne le gâteau, nous serons tous les deux heureux. « Argumenta-t-il, en s’asseyant sur la chaise, gardant le dessert le plus loin possible de Bella.

« Ca va, la lettre est R ! » Cracha-t-elle, avec un air de défaite. Edward rit et lui donna son gâteau.

« Tricheur ! » Murmura-t-elle en mangeant un gros morceau.

« Je préfère le terme génie ! »

= X =

Bella passa le samedi à essayer de finir la lecture d’une histoire qu’elle n’appréciait pas. Elle était fade et ennuyeuse. Elle n’avait absolument aucune substance, les personnages étaient incroyablement ternes et l’intrigue était aussi banale que cela était possible.

Et pour couronner le tout, elle pouvait entendre Edward faire les cents pas devant la porte de sa chambre toute la journée. Quand elle se rendit aux toilettes, elle le vit qu’il fixait la fenêtre. Il avait pris une douche et avait enfilé un pyjama en sortant de la salle de bain. Il avait l’air peiné et quand elle lui demanda ce qui n’allait pas, il lui envoya un regard furieux. Elle rit simplement et retourna dans sa chambre en entendant Edward murmurer quelque chose.

A cinq heures, Bella décida de mettre fin à la torture d’Edward et l’appela dans sa chambre. C’était comme s’il était assis devant la porte car quand elle l’appela, il fut dans la chambre en moins d’une nanoseconde.

« Enfin ! » Soupira-t-il, bruyamment.

« Pas si vite !» Dit-elle, comme Edward baladait son regard de haut en bas sur le corps de Bella. Elle portait une courte robe bleue et, bien sûr, son imagination voyageait sous cette robe. Bella rit face à l’expression hébété qu’il affichait.

« Que faisons-nous ? » Demanda-t-il, attendant les instructions de Bella.

« Tu vas voir. Maintenant déshabille-toi ! » Ordonna-t-elle. Mais Edward était stoïque et ne bougeait pas. Bella le regarda avec colère.

« J’ai dit, déshabille-toi, Edward !» Le gronda-t-elle avec force mais là encore, il resta immobile.

« Quel rapport avec la lettre R, Bella ? » Répondit-il avec suffisance rendant Bella encore plus furieuse qu’elle ne l’était déjà.

« Ok. Retire tous les vêtements de ton corps ! » Edward concéda et se déshabilla. Bella souriait alors que le dernier vêtement tombait au sol.

Edward était déjà dur comme un roc.

« Excité, Monsieur Cullen ?» Le taquina-t-elle en s’approchant de lui. « Reste debout ! » Ordonna-t-elle, se rapprochant toujours. « Ne bouge pas. »

Quand elle fut assez proche de lui pour le toucher, elle laissa ses doigts danser le long de ses avant-bras musclés et il frissonna provoquant la chair de poule.

Bella tourna autour d’Edward, glissant ses mains sur son corps qui était digne d’une œuvre d’art. Chaque parcelle était tonique et sculptée à la perfection. Sa main se posa sur le bas de son dos et commença à le masser. Edward laissa sortir un gémissement rauque.

« Bella ! » Emit-il.

« Chut, Edward. Garde le silence. Allonge-toi, face contre le lit. » Ordonna-t-elle. Edward s’exécuta immédiatement.

« Qu’est-ce que cela à avoir avec la lettre R ? » Demanda-t-il, confus.

« Tu es bête de ne pas trouver, Edward. » Chuchota Bella au creux de son oreille en chevauchant Edward et retirant sa robe dans le mouvement. Il gémit de nouveau en sentant le corps nu de Bella au dessus du sien.

« R pour la réciprocité et quelques autres choses ! »

« Je ne comprends toujours pas ! » Geint-il dans un des oreillers de Bella alors qu’elle commençait à le masser.

« Eh bien, vois-tu, Edward, tu as été si bon pour moi depuis si longtemps. Et ces deux derniers Week-ends, tu t’es uniquement consacré à moi et à mon plaisir. Je pense que cette fois, c’est ton tour. » Répondit Bella, en passant ses mains fermement sur ses épaules.

« Mmm, Bella, c’est si bon. »

« Tu es tellement tendu, Edward. Le travail est-il la cause de tout ce stress ? » Dit-elle, en saisissant un peu d’huile sur la table de nuit et en frottant le milieu du dos d’Edward, agissant sur les nœuds musculaires.

« Oh, putain ! » Gémit-il comme les doigts agissaient habilement, diminuant la tension. « Tu n’as pas idée à quel point c’est bon. »

« Vraiment bon ? » Susurra-t-elle à son oreille et mordillant le lobe comme il le faisait toujours pour elle.

« Merde, Bella ! » Lâcha-t-il en frottant ses hanches sur le lit. Bella ricana légèrement et positionna son corps sur les cuisses d’Edward en massant le bas du dos. A sa grande joie, Edward cambra son dos et laissa sortir un miaulement de plaisir.

« Es-tu sûre d’avoir bien choisi ta carrière ? » Demanda-t-il.

« Chut, Edward !» Répliqua-t-elle calmement en câlinant ses fesses qu’elle prit en main, puis elle massa ses cuisses.

« Comment te sens-tu ? » Lui demanda-t-elle en se positionnant debout à côté de lui.

« Très bien. »

« Demi-tour. » Indiqua-t-elle. Edward s’exécuta prestement. Il était toujours dur.

« Et maintenant ? » Edward avait un air détendu, écarquillant les yeux.

« Prend la position de l’aigle. » Exigea-t-elle. (N/T : Bras et jambes écartés) Ce qu’il fit. Ses mains et ses pieds arrivaient aux angles du lit. C’était parfait pour ce qu’elle avait prévu.

« R veut également dire retenu par des cordes. »

Les yeux d’Edward s’élargir à ces mots et il avait le souffle coupé en sentant une corde autour de sa main droite qu’elle noua à la tête du lit.

« Tu es sérieuse ? » S’inquiéta-t-il.

« Tu poses des questions stupides, Edward. Maintenant, silence et ne bouge pas. »

Elle attacha les autres membres au lit et se mis debout entre ses jambes. Il la regardait, la respiration haletante. C’était tellement différent de son caractère mais au diable si elle n’était pas sexy comme l’enfer.

Elle se laissa tomber à genou dans l’espace entre ses cuisses.

« Ta verge est absolument magnifique. » Commenta-t-elle, en le regardant de près. Edward luttait pour s’incliner et regarder mais ses liens l’en empêchaient. Bella prit une profonde inspiration et souffla lentement de l’air chaud pour taquiner la zone sensible. Il gémit pathétiquement et trembla.

« Puis-je te goûter, Edward ? »

« Oh, mon Dieu ! » Gémit-il comme Bella le caressait de sa main lisse par des mouvements montants et descendants. Son pouce s’arrêtant sur la fente de son gland engorgé.

« S’il te plaît ! » plaida-t-il, en tirant sur ses liens.

« Est-ce un oui, Mr Cullen ? Me permets-tu de goûter ? »

« Oui, putain, oui. S’il te plait, Bella ! » Supplia-t-il, tirant toujours sur ses liens. Bella adorait tout ça. Elle n’avait jamais entendu Edward avoir une voix si perdue, si hors de contrôle comme maintenant.

Bella empoigna la base de son sexe et le lécha sur toute sa longueur, lentement. Quand elle atteignit le sommet, elle passa sa langue sur sa fente, et le goûta goulument, aspirant la goutte de pré sperme qui avait suinté.

« Mmmmmm ! » Grogna-t-elle. « Délicieux. »

Edward poussa sa tête en arrière sur l’oreiller et laissa sortir une lamentation que Bella aima entendre.



« Bella, permets-moi de regarder. S’il te plaît. Laisse-moi te voir ! » Plaida-t-il. Bella le lâcha et répondit gracieusement à sa requête en plaçant deux coussins derrière sa tête lui permettant d’être suffisamment redressé pour observer ses gestes.

« Merci. » dit-il tandis que Bella ricana.

Elle reprit sa place entre ses cuisses et le reprit doucement dans la main. Elle le regardait au travers de ses cils et le vit impatient.

« S’il te plaît ! » Gémit-il, en poussant ses hanches. Bella minauda, se détourna et se lécha les lèvres, les rendant luisantes et humides. Elle leva les yeux vers lui et sans jamais le quitter des yeux, elle le prit en bouche, le suçant avidement. Edward gémissait de plus en plus en tractant fortement sur les cordes.

« Putain, putain ! Bella, c’est si chaud, si humide, ô Dieu, j’en veux plus ! »

Bella le prit plus profondément en bouche, enroulant sa langue autour de son gland puis se retira et à chaque fois, Bella le prit plus en elle. Ses mouvements de va-et-vient avec sa bouche, provoquaient des gémissements de plus en plus bruyants de la part d’Edward. A chaque remontée , elle laissait ses dents effleurer sa queue, resserrant la prise de sa main.

Bella ne quitta jamais Edward des yeux et regardait son visage crispé par le plaisir. Elle le voyait lutter contre ses liens. Elle le regardait lutter pour garder les yeux ouverts et elle le vit perdre sa capacité à respirer correctement. C’était un spectacle magnifique.

Elle dirigea l’une de ses mains vers ses bourses pour les caresser comme l’autre continuait ses va-et-vient. La tête d’Edward s’enfonçait de plus en plus dans les oreillers tandis qu’elle le frottait et le suçait toujours. C’en était trop pour lui. Très bon. Trop foutrement bon.

« Bella, Putain, arrête ! » Haleta-t-il lourdement. « Je ne peux plus tenir. Je veux être en toi, oh putain, permet-moi d’être en toi quand je viendrai. » Supplia-t-il alors que Bella ne cessait de le sucer. Les bruits de succion étaient la plus douce des symphonies aux oreilles d’Edward.

Bella stoppa ses mouvements et le sortit de sa bouche dans un « plop ».

Elle se déplaça et se positionna sur ses hanches, frottant son sexe contre celui d’Edward. Tous deux gémirent à cette sensation.

« Tu es tellement humide. » Murmura Edward en poussant ses hanches contre Bella. Il continuait à tirer sur les cordes et cela commençait à provoquer des brûlures à ses poignets.

« Tu sais quoi, Edward ? Tu sais ce qui t’attend ? » Il secoua la tête et elle se pencha pour lui chuchoter.

« Je vais te chevaucher, si fort, et tu ne seras pas capable de me toucher. »

Edward grogna et se cambra de nouveau contre les oreillers. Ses mains étaient crispées tant l’envie de serrer Bella et de la prendre était grande. Bella ricana contre son cou comme elle lui donnait des baisers sur son épaule, sur sa clavicule avant de prendre un morceau de peau de son cou dans sa bouche. Edward émit un son rauque pendant que Bella suçait et le mordillait.

Elle se recula en admirant la marque des ténèbres qui commençait à apparaître.

« Amuse-toi bien lundi pour expliquer cette marque auprès de tes collègues ! » Le taquina-t-elle en s’emparant du préservatif sur la table de nuit et faisant une démonstration de sa dextérité en ouvrant l’emballage avec ses dents. Saisissant le latex dans sa main, elle glissa vers le bas et se positionna sur les cuisses d’Edward. Elle prit le préservatif et le fit rouler sur le sexe tendu d’Edward déclenchant un sifflement de sa part.

Bella sourit en plaçant son entrée devant la verge d’Edward et se frotta dessus. Son humidité suintait de sa chatte et elle caressa son clitoris avec l’extrémité du sexe d’Edward.

« Bella ! » Supplia encore Edward, poussant ses hanches pour augmenter les sensations provoquées par la proximité du sexe de Bella, essayant d’y entrer.

« C’est moi qui contrôle ça ! » Déclara-t-elle en le prenant fermement en main et s’empalant sur lui profondément, reposant sur ses cuisses. Elle hurla quand il la remplit entièrement. Il était couché sous elle, la bouche ouverte, une expression de pur plaisir sur le visage.

Ils haletèrent tous les deux tandis que Bella entamait un mouvement de haut en bas. Elle établit un rythme rapide et dur, et elle-même avait des difficultés à se contrôler tant elle était serrée autour d’Edward.

« Edward ! » appela-t-elle le souffle court.

Il ne fallut pas longtemps pour qu’ils arrivent à l’explosion de leur plaisir ultime. Bella vint la première, criant le nom d’Edward, ressentant une décharge électrique et convulsant sans aucun moyen d’arrêter. Edward la suivit moins de 10 secondes plus tard dans un orgasme violent.

« Bella ! » Gémit-il, en déversant sa semence profondément en elle.

Bella s’effondra sur le torse d’Edward, la respiration saccadée en essayant de reprendre un rythme respiratoire normal.

« Putain, Bella ! Tu as gagné. Tu as été la meilleure ! » Avoua-t-il, dans un souffle.

« Je te l’avais dit ! » Fanfaronna-t-elle, tandis que son rythme cardiaque se stabilisait.

« Bella ? »

« Oui ? »

« Pourrais-tu me délier ? Les cordes me blessent. »

Bella se redressa immédiatement et coupa les cordes, massant les marques rouges au niveau de ses poignets et de ses chevilles.

« Je suis désolée, Edward. » Dit Bella, présentant ses excuses, en frottant toujours ses poignets.

« Ne t’excuse pas. Ce n’est pas nécessaire. » Il embrassa le haut de sa tête, la prenant contre lui afin de pouvoir enfin la toucher.

« C’était une vrai torture. Tu avais le droit ? » Demanda-t-il. Bella le regardait confuse.

« C’était mon jour, j’avais tous les droit. » Bella renifla et se mit à rire de façon hystérique.

« Désolée. » Dit Bella.

« Pas de problème. Où as-tu appris à sucer une queue ainsi ? »

« Tais-toi, Edward et va au lit ! »

« Oui, Madame. Mais cela ne commence pas par la lettre R ! » La taquina-t-il.

« Idiot ! Dors Edward ! »

« Pareil, Bella. Bonne nuit. »

« Bonne nuit. »

2 commentaires:

  1. La bannière est superbe ! Et j'aime beaucoup cette histoire ! Merci pour tout ce boulot Eli !

    Bisous

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  2. Merci à toi, Anghjulina pour ta supervision.

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